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 ---> Christine MULLER-SEILLER, première de l’Ardéchoise 2004

Après un repas chaleureux, une nuit pas trop chaude, un départ tranquille et sans stress se prépare. Il est sept heures et quart et je suis la ligne. Le temps d’un regard pour Jean-Paul Chauvin, le maire de Saint Félicien qui m’a hébergé si gentiment et le départ est donné.
Départ, col du Buisson, Christine MULLER-SEILLER est en tête de course.

Les premiers kilomètres sont faciles, mais très vite le rythme s’accélère. Quelques coureurs me dépassent pour la première fois. Ils seront rattrapés dans la montée des Nonières. Maintenant direction Mezilhac ! À 10 km du sommet, les premiers prennent quelques secondes d’avance. Mais après une belle et grisante descente, les revoilà au bas de la pente, avant une remontée rapide vers le Col d’Aizac.

Au temps intermédiaire ma position de quatrième est correcte, mais j’avais le pressentiment que l’accélération dans le Gerbier allait être fatidique et que nous allions quitter pour de bon les tous premiers ! Mais grâce à l’aide d’un bon meneur anonyme qui s’était lancé dans la Vélomarathon, cet obstacle est escaladé à une bonne allure. Ensuite deux coureurs fort sympathiques se sont relayés pour nous mener à bon train jusqu’en haut de Saint-Agrève.

Les descentes commencent à être chaudes, car nous n’arrêtons plus de doubler. Un seul mot sort de notre bouche « Droite ! Droite ! ». Certains cyclistes le prennent bien, mais d’autres ont juste le temps de râler. Le dernier col arrive, on puise dans ses dernières ressources.

Me voilà dans la dernière descente où je m’attendais à doubler mon beau-père (signe d’une bonne course) qui, lui, faisait la Volcanique (170 km). Nous arrivons dans le dernier faux plat avec l’impression que les roues se scotchent un peu au bitume. Et voilà le dernier kilomètre, ça y est, la course est finie !

Un dernier regard sur le compteur. Surprise ! Mon temps est encore amélioré ! Un merci et un salut pour mes compagnons de route, et direction la douche qui sera un grand réconfort ! Mon mari Thierry arrive tout content, car il a lui aussi amélioré ses performances. Tranquillement nous nous dirigeons vers la remise des prix où nous rencontrons Claude, notre photographe tant attendu !

Christine MULLER-SEILLER

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