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Denis Roudier remporte La Roger Walkoviak 2005 (167 kms)

758 inscrits au départ de Cusset (village voisin de Vichy), mais pour ce qui était de la chaleur et du ciel bleu, ce sera pour l’année prochaine !

Qui dit herbe de bonne qualité signifie arrosage abondant et par conséquent de temps en temps, ciel couvert bien gris avec de gros nuages pour bien faire ce travail ...

... Soyons honnêtes, cela aurait pu être pire comme la veille car le jour de l’épreuve, il faisait frisquet mais il n’a pas beaucoup plu !

En début d’épreuve Denis Roudier sociétaire du club organisateur l’ACC (Avenir Cycliste Cusset) a testé sa forme du jour puis il a attendu gentiment la mi-course pour prendre les devants en compagnie de 5 autres costauds du moment. La décision finale s’est faite dans la dure rampe à la sortie du village de La Prugne où il s’est retrouvé seul à mi-pente. Ensuite il a résisté à ses poursuivants pendant les 50 derniers kms pour l’emporter en solo à la moyenne de 33,246 km/h.

Un beau diplôme qui va rejoindre sa collection déjà très fournie : plusieurs fois champion régional, 7ème du Tour de Taiwan et 5ème du Tour du Livarois l’an dernier.

Le vainqueur 2005 en compagnie de son fils et du toujours jeune Roger Walkowiak vainqueur lui du Tour de France 1956.

Suite des résultats —> Walkowiak 2005 : Grand parcours 168 kms

Tout comme le vainqueur du grand circuit, Chen Keng Hsien est sociétaire du Club Organisateur mais depuis 2 mois seulement . Certains diront qu’il vient de Chine d’autres diront qu’il vient de Taiwan ! De toute façon, comme tous et d’où qu’ils venaient, il a souffert des conditions atmosphériques du jour et des difficultés du parcours de cette Walkowiak 2005. Quant à l’organisation de cette belle épreuve, nous l’avons trouvée parfaite. Un seul absent, mais de marque : le Soleil !

Malgré les rigueurs climatiques de cette journée, les femmes aussi se sont montrées à la hauteur des difficultés à vaincre !

Certains proposeront comme légende : Catherine Talec, la Belle du jour et la Bête de 1956, Monsieur Walkowiak !

Le vainqueur du petit parcours est chaudement félicité, moins de kms parcourus mais presque autant de mérite à cause de l’humidité et la froidure de la journée.

Suite des résultats —> Walkowiak 2005 : Petit parcours 107 kms

Pour un bol d’air, ce fût plutôt plusieurs nuages de brouillard bien froid que les concurrents eurent à déguster, mais le cyclosport est une activité de plein air surtout lorsqu’on se balade à 1000 mètres d’altitude un jour de mauvais temps !

Pour ce qui est des jolies demoiselles, il paraît que ce temps fait merveille pour le joli teint qu’il donne à la peau, surtout ici puisque c’est la même eau que l’on embouteille et dont on se sert juste à côté à Vichy !

La chose étant bien comprise, pourquoi donc ne pas faire le plein de beauté en liquide auprès des bénévoles très dévoués et courageux qui la distribuent à volonté dans cet endroit ouvert aux quatre vents et propice à récolter un rhume de collection ! Ici le célébre bénévole Roger Combaret, premier président du Club Cycliste de Cusset.

Nos courageux participants dans La redoutable rampe de La Prugne qui commence dans le village même sous les regards des gentils nains d’escalier qui en sont tous exténués !

Un bel endroit pour essayer le matériel, tester l’adhérence des gommes et pour régler sa position en danseuse !

Sortis de La Prugne, l’affaire n’est pas du tout dans le sac pour ceux qui ont opté pour le 167 km, le plus dur continu !

Après cette fraîche balade en montagne bourbonnaise, le plateau-repas a été dégusté jusqu’à la dernière miette tout en narrant les passages difficiles de ce beau parcours qui doit être magnifique par beau temps, conclusion : il faudra revenir !

Le président, Jacques Dupré, en compagnie du célèbre parrain, tous deux satisfaits de cette journée qui s’est déroulée sans problème malgré cette météo capricieuse, mais il fallait faire bien avec !

Que ce soit Monsieur le Maire de Cusset, René Bardet ou ici au micro Monsieur le Député Gérard Charasse, les élus présents ont été parfaits dans la longueur de leurs discours traditionnels.

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